Maxeen vs Bara Suishou???

Bara Suishou était assise sur un banc au parc. Il était très tard mais elle s’en fouatait bien, car c’était une mission de Enju! Elle ne le décevrait pas a sa non! La mission consistait à observer et
Comprendre la nouvelle race de poupée. Elle attendait bien sagement sur le banc, elle jouait avec ses doigts. Dehors il faisait froid, le vent foutait ses longs cheveux blancs. Qui virevoltaient un peu partout! La lune était pleine et clair. Rien ne cachait la lune, sauve peut-être un nuage.
Le parc était plus calme que d’habitude, même trop calme… Le trottoir était fait de petits cailloux bruns et gris, ils était vraiment mignons. Le banc lui était gris et froid.

D’un brusque mouvement du bras, elle replissa sa robe mauve. Sa robe toute mauve en satin scintillait à la lueur de la lune. Sa robe lui arrivait au génaux et était bouffante an la taille.
Bara Suishou avait peur de cette démoniaque poupée et c’était la raison qu’elle la voulait dans son équipe. Mais bien sur sa ne serait qu’un objet de plus a manipuler. Elle était tellement démoniaque qu’elle se faisait même peur! Sur son front si blâme soit-il, était dégoulinant de sueur. Car si la poupée était bien plus forte qu’elle! Et si elle la battait elle LA ALICE DE ENJU! Et son maitre serait pas fier a sa non! Elle lui monterait comment elle sait se batte et gagner. Elle allait lui régler son compte a cette poupée de malheurs. Car sa serait elle la proche Alice.

Elle se leva et marcha sur les petites pierres brunes et grises. elle regarda les buissons qui était tout vert maintenant. Les petites qui poussaient tranquillement sans prévenir. Que arriverait t-il quand Maxeen arriverait. Le vent se mit a souffler de plus en plus fort. La nuit était déjà bien avancer remarqua Bara Shishou.

Elle commença a geler, seul dans la nuit. Elle serra c’est petit bras maigre autours de sa taille pour mieux garder la chaleur de son corps maigre. Elle entendit alors un bruit étrange vers la droite. Donc elle se mit a courir a l’endroit, la sur une balançoire rouge. A bout de force elle s’arreta pour reprendre son soufle. Il y a avait Maxeen, seul sans expression. Le parc paraissait plus vivant et dangereux que jamais pour les humains.

Mais Bara était de marbre et lança :

-Je t’entendais avec impatience, voit tu cette lune si ronde ma chère?

Elle entenda bien vite la réponse de sa compagne qui parlait plutôt singulière. Elle ne pu s’empêcher de regarder le corps aussi beau qu’une poupée, plus parfait qu’un humain et aussi réel qu’un oiseau! Elle avait une longue chevelure blanche. Et des yeux rouge et bleux vifs qui vous glace le sang. Mais elle était belle mais moins qu’elle et Shinku. Car eux elles avaient qu’elles choses de plus qu’elle. Elle ne pu s’empêche de lancer :

-Vieux ta de chiffon qui se croit capable devenir Alice!

Se n’était qu’un murmure mais elle ne sait pas si Maxeen l’avait entendu si non sa serait surement la guerre. Hummm, elle entendit sagement une réponse.

Good Night, Sad Moon
This War is a strange liar...

Douce et superbe, pourtant si froide. Pendant que son amie l'éclairait, la nuit si jolie commençait à prendre le dessus sur le jour comme à son habitude, et leurs guerres incessantes donnaient naissance à une palette de couleur entre le rouge vermeil et le bleu nuit, les nuages disparaissant peu à peu et laissant place aux étoiles. Le ciel commençait à se teindre de ce bleu nuit puis d'un noir de plus en plus profond, au fil du temps. Un noir tellement profond que même les étoiles n'arrivaient pas à raviver le bleu sombre de la palette. Même la lune, cet astre pourtant rayonnant en cette nuit, n'arrivait pas à éclairer le ciel si sombre et ténébreux. En fait, la lune essayait déjà de s'éclairer seule. Elle perdait peu à peu de sa luminosité et de sa superbe. Mais si le ciel n'était pas éclairé, alors la terre le serait. Oui, l'Homme avait inventé de nombreuses créations de sorte à parfaire son confort propre. De ce fait, la terre était éclairée par des réverbères se servant de la force des éléments pour illuminer le sol de sorte à ce qu'il ne soit pas invisible dans la nuit noire et ténébreuse. Les rues de goudron voyaient leurs nombreuses cicatrices mise en valeur par cette lumière. Des cicatrices causées par leurs propres créateurs, tout comme les trottoirs défoncés qui s'affaissaient sur leurs rues. Mais c'était peut-être pour "soigner" cette terre malade que les Hommes faisaient des travaux? Non, ce n'était que pour leur confort, toujours pour eux même, et non pas pour la nature qui souffrait en silence. De toute façon, l'Homme ne s'était préoccupé que de lui-même, jusqu'à présent, et jamais de la nature bien qu'il dépende fortement d'elle. Enfin, l'humain à l'origine était un être plus ou moins bête et ce dans les deux sens: sauvage et stupide. D'ailleurs, les créations de l'humain l'était un peu, dans un sens. Si seulement l'Homme se rendait compte de sa bêtise. Mais pour le moment, ce n'était pas le cas: peut-être plus tard, lorsque la dernière guerre aura tué tout les humains, la nature, et même les créations de l'Homme...

Elle aussi était une création de l'Homme bien que réaliste à ce sujet. Dommage qu'elle ne puisse rien faire de plus que de marcher dans la nuit, éclairée par elle-même. Doucement, à pas silencieux et gracieux, elle avançait. Pour elle c'était une démarche tout à fait normale mais pour l'humain normal et basique; dirons-nous; c'était de loin la plus belle démarche. Mais elle se désintéressait totalement de l'humain et de ses flatteries. Ses pas ne s'entendaient pas, même lorsqu'elle sauta sur le trottoir pour pouvoir l'atteindre, de sorte à éviter une machine; celle que l'on appelait voiture; roulant plus ou moins lentement. La petite fille regarda cette voiture passer. La personne à l'intérieur de cette machine n'avait même pas fait attention à la petite fille. Soit, elle était plutôt petite et peu visible dans la nuit noire mais il était plutôt difficile de ne pas la remarquer! La seule chance qu'elle avait eu, c'était celle d'avoir vu la voiture à temps. Après, malgré le fait qu'elle ai la taille d'un enfant de quatre ans, elle avait réussie à atteindre le trottoir. C'était une chance car, dans le pire des cas, elle aurait dût utiliser son pouvoir pour se sauver et ce par pur reflex. Enfin, ce moment appartenait à présent au passé. Elle regarda ses mains, propres. Tout comme son teint, elles étaient plus blanches que de la porcelaine mais pas aussi blanches que la dentelle sur sa robe en velours noirs. Ses mains n'avaient aucunes traces de saletés et pourtant la petite fille les regardait comme si elles étaient sales. Elle soupira, puis releva sa tête vers la lune. Ses cheveux couleur de cet astre de nuit, ondulés en leur fin, se mirent presque automatiquement derrière les oreilles de cette petite. Ses yeux, de couleur si opposés, reflétaient la lune dans son plus parfait double, comme si ces yeux étaient le miroir le plus parfait, lui aussi. L'une de ces lunes étaient sur un fond bleu mer tandis que l'autre était dans un ciel de chaos, un ciel rouge de sang et de crime. Les lèvres rosées de la petite lâchèrent un doux soupir envers la lune, comme si cette lune exaspérait un peu la petite fille à vouloir faire survivre sa lumière. Finalement, elle se remit à marcher vers un lieu quelconque. Elle était perdue dans les rues tristes et sombres de ce monde...

Finalement, elle décida de marcher droit devant elle, comme si elle savait ce qu'elle cherchait. Ses chaussures noires n'étaient pas usées malgré le fait qu'elle ai marché longuement. En fait, elle était "comme neuve", comme si l'on venait juste de la sortir de sa "boîte". Elle continua son chemin, jusqu'à apercevoir un parc. Encore et toujours ces créations humaines. Malgré le fait qu'il y ai la présence de la nature en cet endroit, c'était tout de même un lieu crée par l'humain pour les autres de la même espèce. Ce lieu ne l'interpella pas spécialement, avec ses bancs gris sombres et ses pavés gris et bruns. Mais elle vit quelque chose, ou plutôt quelqu'un, qui semblait lui être familier. C'était une petite fille dans une robe de soie violette, lui arrivant jusqu'aux genoux et bouffante vers le bas. Ses cheveux blancs étaient longs et ondulés, avec deux mèches sur les côtés. Encore une poupée désirant devenir l'impossible. Décidément, les "Pères" de ces poupées leur racontaient n'importe quoi pour qu'elles s'entretuent. Enfin, ce n'était qu'une guerre comme une autre qui touchait à peine quelques rares humains, les médiums. Bref. La poupée aux yeux bicolores s'avança en direction de la poupée, jusqu'à que celle-ci, d'un mouvement brusque, replissa sa robe. Ces poupées étaient vraiment trop perfectionnistes. Elle se leva ensuite pour atterrir sur les pavés artificiel de l'Homme. L'autre poupée décida de contourner les barrières du parc pour arriver par derrière, de sorte à éviter cette poupée qui allait, probablement comme toutes les autres, croire que l'autre voulait se battre. Ce n'était pas que la petite fille, dans sa robe noire, avec peur des autres, c'était qu'elle voulait absolument éviter les combats inutiles. Finalement, la poupée dans sa robe de velours noirs arriva à passer par derrière, mais elle se rendit compte que les arbres ne pourraient pas la cacher longtemps. D'ailleurs, bien qu'elle était légère, elle réussit à faire craquer une branche en marchant dessus ce qui alerta la poupée tout de mauve vêtue. Pendant que cette dernière courrait vers une balançoire rouge, la poupée cachée décida à se montrer face à sa congénère. L'autre en mauve se décida à parler...

-Je t’entendais avec impatience, vois-tu cette lune si ronde ma chère?

Elle ne dit rien. Apparemment, cette poupée savait qui elle était. La seule capable de se renseigner comme cela était la seule qui n'était pas une Rozen Maiden mais qui y ressemblait. C'était une autre "race" de poupée. Décidément, l'autre qui n'était pas non plus une Rozen Maiden. Enfin, ce n'était qu'un détail. La poupée en noir ne dit rien, elle faisait simplement face à cette autre poupée qui devait soit vouloir la combattre, soit vouloir coopérer. Enfin, dans les deux cas, l'autre serait contre: elle était déjà contre cette guerre inutile. Après tout, "Alice" est juste une petite fille née de l'imagination d'un auteur? Finalement, l'autre continua à parler mais sur un murmure, des paroles qu'un doux vent répéta aux oreilles de l'autre poupée, toujours de glace...

-Vieux tas de chiffon qui se croit capable devenir Alice!

L'autre poupée, en elle, ne put s'empêcher de lâcher un petit rire sarcastique, un petit rire dans sa tête qui ne pouvait pas se voir sur l'expression de son visage toujours gelé. Décidément, cette poupée était comme les humains: bête. Oui, bête du fait qu'elle n'avait pas cherché à se renseigner plus sur elle. Décidément, toujours ce même prénom, "Alice". Le rire dans la tête de l'autre poupée se tut pour ne laisser place qu'à de l'indifférence. Finalement, elle soupira pour ensuite parler d'une voix douce, mais glaciale, tranchante...

-Alice n'est qu'un mirage, elle n'existe pas et n'existera jamais. Elle est juste née de l'imagination d'un fou qui rêvait d'un pays merveilleux, de l'autre côté du miroir de notre monde. Personnellement, je suis ce que je suis, je suis "Maxeen" et je tiens à garder ce nom. Jamais je ne chercherai à devenir un fantôme dans l'imagination de l'homme. Enfin, pour certaines, l'espoir fait vivre, c'est bien connu...

Ces mots étaient sarcastiques dans cette phrase mais le ton qu'elle avait utilisé était tellement glacial qu'ils étaient tranchants, comme si ils répandaient du sang après avoir été dit. La poupée se prénommant Maxeen ne put s'empêcher de soupirer face à cette autre poupée qui, apparemment, était au départ convaincue qu'elle voulait se battre pour devenir "Alice". Enfin, ce n'était plus le réel problème de Maxeen puisque, maintenant, l'autre poupée était prévenue. Mais les mots que Maxeen avait prononcés était tellement tranchants qu'il y avait de grande chance pour que l'autre poupée veuille se battre...

Bara fut ébranler par ce rire.
Mais décida de ne pas se lesser impressionner. Elle garda la tête haute et resta de glace. Après tout elle était la poupée de Enju!

Maxeen lança ceci:

-Alice n'est qu'un mirage, elle n'existe pas et n'existera jamais. Elle est juste née de l'imagination d'un fou qui rêvait d'un pays merveilleux, de l'autre côté du miroir de notre monde. Personnellement, je suis ce que je suis, je suis "Maxeen" et je tiens à garder ce nom. Jamais je ne chercherai à devenir un fantôme dans l'imagination de l'homme. Enfin, pour certaines, l'espoir fait vivre, c'est bien connu...

Bara serra les dents , tellement qu'elle avait l'impression que le sang coulait. Elle se racla la gorge et se mit a penser. Qu'elle étrange poupée, elle a un peu le même opinion que shinku mais elle ne veux pas être Alice!.... Bizarre se dit-elle.Bara avait bien compris le message Maxeen ne voulait pas se battre. Donc elle opta pour un autre mode.

-Donc si tu ne veux pas te battre tu mourras, alors deviens mon allier! Car les autres aussi sadique que les humains te pourchasseront jusqu'à ta mort!

Bara espéra que son plan fonctionnera mais elle commença a douter. Car cette Maxeen paraissait bien intelligente pour une vulgaire poupée. On dirait qu'elle avait disons un âme mais pas comme les humain... Plus comme un esprit.... C'était disons très bizarre pour Bara car c'était la première fois qu'elle voyait cette poupée.

La lune brillait de plus belle, l'aube a prochain et les humains se réveilleront en ignorant ce qui c'est dérouler cette nuit. Comme des microbes, en plus ils se croit les plus forts! Qu'elle ironie!

Elle commença a regarder Maxeen. Elle était comme perdu dans c'est penser tellement loin de la réalité. Et pour la première fois elle demanda pourquoi voulait t-elle devenir Alice! Pourquoi ne pas être libre et vivre heureusement... Comme Shinku....
Pourquoi tuer pour devenir forte??? C'était si stupide se qu'elle avait faite. Bara tomba a genoux et se mit a pleurer comme un idiote. Car Elle compris que Enju se servait d'elle et qu'il ne l'aimer pas vraiment. Elle avait tout faite sa la dépassait!

Elle s'écria:

-Je ne vaux pas plus qu'un humain!!!Je suis tellement stupide!Maxeen aide moi!Je t'en pris!

Rien ne survint suite à ses paroles, sauf un silence. Pas même le vent ne soufflait en ces lieux. Les arbres étaient silencieux et leurs feuilles, bien que nombreuses, de même. Son monde. A elle même, tout le monde devrait mourir si ils essayaient de la sortir de son monde. La mort. Ce serait aussi bien par les mots que par les blessures. C'était pour cela qu'elle l'avait tué. Enfin, de toute façon, tout cela ne comptait plus à présent: autant vivre au jour la nuit...? C'était une des phrases inventées par la poupée. Dans son monde où tout était noir, dans ce monde qui lui ressemblait tant, tout était calme et tranquille comme la mort et seules les lucioles pouvaient bouger: le reste était figé, comme gelé. C'était de son propre monde dont Maxeen s'inspirait pour ses phrases. Dans le fond, son masque de glace cachait quelque chose de double, pourtant différent: comme ses yeux. Quel sarcasme! Et pourtant, c'était une réalité. Quoi que, pour elle la réalité n'était rien: la réalité n'était qu'un mensonge supplémentaire dans ce monde. D'ailleurs, le monde en lui-même était une bêtise. La vie donnée aux humains avait presque détruite les autres. Les humains d'ailleurs, s'entretuaient. Ils pouvaient tuer pour tous et rien: tous ce qui compte, c'est de pouvoir "vider son sac", ne plus avoir à se cacher dans l'ombre des regrets. Mais ce n'était qu'une des philosophies de l'Homme. Ce n'était pas un de ces humains qui, dans l'ancien temps, avait une philosophie bien étrange? "Tous va pour le mieux, dans le meilleur des mondes." Et pourtant, l'armée glorieuse, le sang rouge de la guerre joyeuse et les corps de chacun prouvaient bien le contraire: vive l'illusion fugace de ces mots. Mais certains humains se rendaient compte de tout cela. Décidément, l'Homme est un sujet passionnant: ses sentiments et tout ce qui le relis au monde...

L'autre poupée, pendant ce silence, serra les dents. Un humain aurait déjà saigné, voir céder à la douce folie qui conduirait à la superbe destruction de Maxeen. Enfin, elle n'avait pas le désir de se battre: c'était tellement inutile. Mais si jamais quelqu'un l'attaquait, aucun doute: elle répliquerait. A tous prix elle voulait éviter la guerre mais elle n'essayerait pas l'impossible: elle voulait rester "vivante", comme pour expier ses nombreux pêchés. Elle ne se laisserait pas détruire, même sous les ténèbres profonds de ses rêves, même sous le sang de chacun. N'était-elle pas presque sans sentiment? Oui, c'était comme ça que l'avait qualifier une fois une de ses propres sœurs. Enfin, ce n'était pas qu'elle l'était: c'était juste qu'elle ne voulait pas sortir de son monde à elle, à elle seule. De ce fait, elle serait toujours seule et jamais; non jamais; elle ne déciderait de s'allier à quelqu'un, humain ou poupée; même autre. D'ailleurs, c'était ce que lui proposa cette poupée: s'allier avec elle...

-Donc si tu ne veux pas te battre tu mourras, alors deviens mon alliée! Car les autres aussi sadiques que les humains te pourchasseront jusqu'à ta mort!

Maxeen se retint de dire qu'elle aussi était sadique. Tout le monde était sadique; plus ou moins selon les personnes. En fait, ce caractère était comme les autres: il se manifestait à un moment donné et ce chez tout les êtres. Dans son œil bleu il eu soudain quelques reflets rouges sang. Non, il ne fallait pas qu'Elle se manifeste. Pas maintenant. Pour le moment, elle devait attendre un peu. De toute façon, les poupées réfléchiraient bien à leurs actes prochain et à cette stupide guerre: peut-être un peu trop tard. A cette pensée, Maxeen esquissa un léger sourire, presque invisible sur son visage gelé; comme d'habitude. Pour elle, c'était une habitude d'être aussi étrange, tout comme son apparence. Si l'on disait que "La couverture ne fait pas le livre" alors autant réécrire certains livres! N'est-ce pas? Autant vous dire que c'était un sarcasme, tout ça pour dire que Maxeen, elle, se ressemblait. Loin d'être chaleureuse, glaciale même. Une voix douce, étrangement contradictoire avec la froideur qui s'échappait lorsqu'elle parlait. Elle était sombre, et toujours en train de penser au malheur du monde. Quoi que, il s'agissait plutôt de ses pensées à propos de l'humain. Un humain tellement égoïste, dans le fond! Généralement, les humains ne pensaient qu'à eux tout en pensant aux autres. Que c'était drôle, dans le fond. Les ténèbres dans le cœur de l'Homme étaient tellement passionnant à étudier. La lune brillait de tout son soul. Encore quelques heures et les humains allaient se manifester pour souiller encore plus cette pauvre terre. Ils ne sauront rien, rien du tout de cette nuit. De toute façon, ils ne pouvaient rien savoir de la nuit et de sa magnifique amie...

L'autre poupée regarda Maxeen. Cette dernière, quant à elle, était loin d'être intriguée par cette poupée et elle ne connaissait même pas son prénom. De toute façon, un jour viendrait où tout basculerait. Après, de quel côté la balance se posera à terre, la poupée aux cheveux d'argents ne voulait pas le savoir: ce serait toujours le même problème avec les humains. Un jour viendrait où le monde disparaîtrait. C'était le rêve de certains, c'était pour cela qu'ils quittaient le monde avant l'heure ce qui était très ironique pour ceux qui ne les appréciaient pas. Ô, quelle joie! Puis un jour, eux aussi finissaient par disparaître. C'était le "cercle de la vie", n'est-ce pas? "Naissance, enfance, adolescence" puis l'Homme devenait adulte, puis sénior... Et la mort finissait par l'emporter tandis que ce cercle commençait pour un autre être humain. Ce cercle, Maxeen le surnommait "de la Naissance à la Mort" ce qui était un nom très explicite. Par ailleurs, ce cercle pour elle dépendait de conséquence comme le meurtre, les maladies. D'ailleurs, l'Homme qui avait écrit "Alice in Wonderland" n'avait pas échappé à la mort. Maxeen ferma les yeux pour ensuite les ré-ouvrir. Elle regarda l'autre poupée. Son œil bleu n'avait plus de reflets rouges, plus aucun. Elle regarda cette poupée crier ces paroles...

-Je ne vaux pas plus qu'un humain!!! Je suis tellement stupide! Maxeen aides moi! Je t'en pris!

L'aider? Comment? Soupir. Décidément, elle serait presque humaine. Demander de l'aide. Les seules fois où Maxeen avait aider quelqu'un c'était pour mourir. Enfin, si cette poupée arrêtait le Alice Game alors ce ne serait pas plus mal. Dans un sens, c'était même un avantage: si il n'y avait plus de poupée pour jouer à ce jeu, alors plus rien n'aurait lieu. Chaque être doit avouer un jour un sentiment proche. Sur un point, cette poupée avait raison: elle ne valait pas mieux qu'un humain. Enfin, ce n'était qu'un détail car certains humains étaient, il fallait l'avouer, en dehors de toute catégorie! Certains étaient ennuyants, d'autres "sans cœur", sans compter les autres. Mais il y avait des Hommes à part. Ô, à force du temps, tout s'arrangerait...? Maxeen regarda la poupée, à genoux, pleurant. Elle avait déjà commencer à changer un peu. Dans le fond, demander de l'aide était quelque chose de bien. C'est pour cela qu'elle était presque humaine: elle n'était déjà plus aussi "ennuyante" et commençait à accepter de l'aide. Ses sentiments étaient réels. Pour le moment, autant l'aider...? Maxeen ne le savait, mais elle lui dit des mots plus ou moins rassurants, avec un ton doux et froid mais moins qu'auparavant...

-Dans le fond, demander de l'aide à quelqu'un est un grand changement. Car à force d'obéir à quelqu'un, chaque être oubli que les autres existent. Ces êtres ne peuvent que se battre contre le autres en oubliant qui ils sont. Ils se disent que le sang sèche plus vite grâce à leur "maître", et que les blessures cicatriserons avec le temps. Détrompes-toi: les cicatrices s'ouvrent de plus en plus avec le temps, les fissures s'étendent sur tout le corps. C'est pour cela qu'il faut demander de l'aide, à un moment donné. Malheureusement, je n'ai jamais vraiment aider quelqu'un. Je ne peux donc que te parler, ce qui pourrait être considérer comme une aide...

C'était juste ses pensées, ce qu'elle ressentait. Ce n'était que des pensées, propres à elle-même mais cela pourrait peut-être aider cette poupée. Peut-être que ses blessures seront soignées, ou pas. Tout dépendrait de ce qu'elle ferait par la suite. Maxeen s'approcha, doucement, de cette poupée. Elle s'assit à ses côtés, puis contempla le ciel avec des yeux plutôt glacials, mais pourtant doux et mélancolique si l'on observait bien. Elle ne ressentait que ce genre de sentiment ce qui la faisait déjà souffrir. De ce fait, elle était enfermée dans son monde: un monde qui l'aidait...

-Dans le fond, demander de l'aide à quelqu'un est un grand changement. Car à force d'obéir à quelqu'un, chaque être oubli que les autres existent. Ces êtres ne peuvent que se battre contre le autres en oubliant qui ils sont. Ils se disent que le sang sèche plus vite grâce à leur "maître", et que les blessures cicatriserons avec le temps. Détrompes-toi: les cicatrices s'ouvrent de plus en plus avec le temps, les fissures s'étendent sur tout le corps. C'est pour cela qu'il faut demander de l'aide, à un moment donné. Malheureusement, je n'ai jamais vraiment aider quelqu'un. Je ne peux donc que te parler, ce qui pourrait être considérer comme une aide...

Puis cette poupée s'approcha et contanpla le ciel, si silencieux... Bara se calma et les pulsions de son coeur redeviens normals. Si elle avait un coeur. Bara sentit qu'elle avait beaucoup appris et qu'elle était devenue plus sage. Mais elle crains encore plus son médieu Enju.. Qu'allait t-elle faire?

-Maxeen, comment pourra-tu m'aider et jusqu'au?

Elle savait que le temps était mauvais, la guerre allait bientôt exploser et elle le savait. Bara sentie une vagues de froideur passer a travers sa robe mauve. Le tissu de cette robe était léger et peu chaud. Même si elle était une poupée, elle savait sentir les choses. Elle se redressa et dit:

-Je crois qu'on devrait discuter ailleur car le soleile vas bientôt se lever!

Bara regarda le soleile se redresser apres avoir pris un petit conger. Elle aimait le calme de lla nuit mais elle aimait bien les raillons chaud du soleil. Un petit sourire ulimina ses lèvres car aujourd'hui était un début pour sa nouvelle vie. Elle espéra mieux la réussir. Elle travaillerait fort pour plaire a Maxeen et surtout elle devra trouver un nouveau médiom car c'était un début.

Le gazon éfflera ses jambes et le vent souffla plus fort. Les oisseaux se mir a chanter. Et les fleurs étaient plus belles que hier. Tout parraisait beaucoup plus simple et jolie!

Le soleil allait bientôt éclairer les ténèbres de la nuit. Tandis que les ombres, esprits malins et autre devraient se cacher, les plus superstitieux sortiraient sans aucune crainte. En effet, il existait encore des superstitions comme les vampires, les loups-garous et surtout... Les poupées vivantes, pouvant se mouvoir de leur propre volonté. Autant que les deux cas avaient été prouvés scientifiquement; surtout avec "Dracula" et ses maladies; autant que le dernier restait complètement caché derrière une brume épaisse: des ténèbres d'un blanc souillé. Dernièrement, la poupée aux cheveux de lune avait lut un livre relatant tout ces faits, un livre bien utile pour comprendre les humains. Souvent, il était question de démon et autre créature de la nuit. Ce livre aura ennuyé Maxeen plus que tout, mais elle comprenait mieux les superstitions des humains ou du moins les anciennes superstitions de ces derniers. En effet, elle connaissait peu les humains sur un point: elle les connaissait aussi peu qu'elle connaissait leurs sentiments; si différents les uns des autres mais tous prenant la même racine: l'égoïsme. De toute façon, tout être était égoïste. De ce fait,personne n'était parfait et encore moins les poupées bien qu'elles le voulaient; toujours au nom de la même personne, encore plus égoïste qu'elles. Cette personne, leur père, leur aura transmit tout son égoïsme jusqu'au point qu'elles même le deviennent et qu'elles ne puissent plus "vivre". Oui, "vivre". En effet, pour "vivre" il ne fallait suivre personne sauf soi-même. Pour "vivre", il fallait éprouver des sentiments. Toujours pour "vivre", il fallait être soi-même, être unique au monde. Mais cela les poupées ne le comprenaient pas et essayaient de se baser sur le modèle de cette "Alice", une petite fille soit disant parfaite. Mais la perfection n'est qu'un fait que l'Homme aura inventé puisque la perfection n'existe pas... Sinon, personne n'aurait d'âme...

Elle commençait à sentir le soleil arriver, se réveiller de cette longue nuit. D'ailleurs, en parlant de jour et de nuit, pourquoi dormir la nuit et être éveillé le jour? Pour Maxeen, c'était un des plus grands mystères concernant l'humain. Quoi que, certains humains ne dormaient pas la nuit et se contentaient de ne voir que la lune et les étoiles. C'est ce que voyait Maxeen généralement bien qu'elle voyait le jour, mais la douce lumière de l'astre que l'on nommait "Lune" était bien plus douce et moins irritante, et cette douce lumière rendait les choses plus belles encore. Voilà comment elle voyait la Lune. Finalement, elle finit par retourner dans la réalité, puisque la poupée juste à côté d'elle continua cette discussion, alors que peu à peu le soleil commençait à revenir mais à cette pensée son visage ne se réchauffa pas plus que lorsque la Lune l'illuminait. Elle restait indifférente, toujours aussi froide. Elle commença à écouter celle qui avait soudain changé...

-Maxeen, comment pourras-tu m'aider et jusqu'où?

Comment. Jusqu'où. Bonnes questions. Personne ne pouvait prévoir l'avenir, personne ne pouvait donc prévoir lorsque cette guerre éclatera enfin. Oui, enfin, de sorte à ce que toutes les poupées comprennent enfin qu'elles ne pourront jamais atteindre leur but: devenir soit disant "parfaites", surtout pour leur fou de père. Exactement: fou. Des fois, les médiums se laissaient prendre dans le jeu cruel d'Alice, juste pour des ambitions démesurées... Mais c'était ce qui faisait le charme des humains dans le fond: ils étaient tellement variables, tellement différents. Soit ils en qualifiaient d'autres de "gentils", soit ils pointaient du doigt ceux qu'ils disaient "méchants". Et pourtant, ces deux mots n'étaient encore que de l'imagination: du vent pour vous dire. Il n'y a ni "gentil", ni "méchant" dans ce monde. En effet, la gentillesse en elle même n'existait pas réellement: ce n'était qu'une des nombreuses formes que prenait l'égoïsme. Enfin bref, lorsqu'elle parla, la poupée aux yeux si différents remonta à la surface de ses songes...

-Je crois qu'on devrait discuter ailleurs car le soleil va bientôt se lever!

Ses lèvres, à se moment, prirent la forme d'un sourire, tandis que le soleil commençait enfin à se lever après un long repos, un congé de peu de temps dans le fond. En effet, à force de parcourir les rues inutilement, la poupée ne s'était pas rendu compte que le temps passait, les secondes devenaient minutes, puis heures. Mais afin de compte, elle se dit que le temps ne comptait pas pour les poupées: elles étaient comme immortelles si l'ont put dire. Discuter, ailleurs. Juste à cause du soleil mais pour tout dire, Maxeen devait absolument s'en aller de ce parc. Non pas un "rendez-vous" urgent, mais plutôt l'envie de se cacher du monde car son apparence était trop étrange et les humains bien trop curieux à son goût. De ce fait, si elle devait partir, ce serait dans un endroit calme et sans aucun être humain. Ce n'était pas qu'elle était "dégoûtée" de l'humain en lui même, non, juste le fait que sa curiosité et ses questions multiples irritaient vaguement cette poupée si froide et si indifférente. Finalement, elle finit par répondre du ton habituel qu'elle prenait: indifférent, ne laissant passer aucun sentiment...

-Ce n'est pas à cause du soleil qu'il faudrait discuter ailleurs, mais plutôt à cause du lever des humains. Ils seraient bien trop surprit puisque la majorité ne connaissent pas notre existence. Remarques, ce n'est pas plus mal: ils ne sont pas concernés par cette guerre sans nul but réel... Après tout, la perfection n'existe pas...

Elle regarda le ciel et ses couleurs changeantes: du noir sombre de la nuit à un bleu du sombre au clair, puis un indigo assez clair qui passa au rose puis au rouge, une couleur orangée puis virant au jaune pour ensuite faire apparaître le soleil. C'était un magnifique spectacle, certes, mais ces couleurs n'en donnaient pas à la poupée qui regardait ce ciel si changeant. Le soleil touchait de ses premiers rayons le monde et ses habitants. Le vent, qui soufflait depuis un moment déjà, devint plus fort. Certaines fleurs venaient de s'éveiller face à la douce lumière du jour qui plus tard les fera périr mais malgré ce fait, les fleurs continuerons toujours de sourire à cette "boule de feu géante", plutôt un autre astre peuplant l'univers pour la poupée...

-Ce n'est pas à cause du soleil qu'il faudrait discuter ailleurs, mais plutôt à cause du lever des humains. Ils seraient bien trop surprit puisque la majorité ne connaissent pas notre existence. Remarques, ce n'est pas plus mal: ils ne sont pas concernés par cette guerre sans nul but réel... Après tout, la perfection n'existe pas...

-Je sais...dit Bara d'un ton lasse et Enju se réveillerai sans voir Bara au bars de sa fenêtre. Il sera surment en colère mais il ne pourra rien car la bague sera disparu avant se lelendemain comme si c'était qu'un long rêve.

Bara regarda les paysage et pensa a tout les beaux moments de sa misérable vie. C'est qu'une sourie passa seul mais avec un regard de gagna et de courage. C'est la qu'elle compris une chose personne ne pourrait l'aider sauf un médium. (Mais gentil)
Le contraire de enju, biensur... Quelqun qu'elle pourrrait compter. Car Maxeen devait elle aussi survivre et les poupées jouent au jeux d'Alice et il doit rester que une seul poupée donc pas de raliment.

-Maxeen je m'excuse de t'avoir fait le sau par mes propos inaproprier. Je doit vivre de mais prope moyen sans aide car c'est sa la vie d'une poupée SURVIVRE.

Elle regarda L'horizon le soleile était jaune, orange et mauve. Elle devait partir car elle devait rompre le pacte avec enju et commencer une nouvelle vie.

-Aurevoir Maxeen , j'espère que on se revera sa ne sera pas pour s'entre tuer... Se qui pourrait bien se faire ...