Mauvaise impression

Fondatrice II Graphiste en chef II

Je me promenais dans une rue, sombre, étroite, et sans lumière. J'avais besoin d'un peu d'air libre. Il fallait que je sois seule un moment.J'avais un mauvais pressentiments, comme si le silence de la nuit, allait bientôt se rompre par un combat de poupées ou encore autre choses. Je continuais d'avancer, regardant la lune magnifique mais toujours aussi mystérieuse, j'entendais le bruits de quelques voitures, et aussi le bruit des feuilles bercer par le vent doux de la nuit.Je sortis alors de la rue étroite et vis de la lumière et un banc casser, qui était par terre, j'en profitais alors pour m'assoir dessus. J'avais pas envie que des poupées viennent gâcher cette soirée magnifique, en plus, je ne participe pas au Alice Game. Mais si je croise des poupées, je ferais ma missions, de faire en sortes qu'elles ne se battent pas. Si jamais aucune d'elle ne voulait que je fasse ça, de toutes les façons, je les protègerais les deux. Je me sentais si lourde, si lourde d'avoir laissée mon frère participer au Alice Game, si lourde qu'il ne crois pas en moi, si lourde, qu'il se fasse engloutir de plus en plus par les ténèbres.Si lourde, pour tout les ennuis que j'ai causée à ma soeur... Lourde pour tout, tout. Je me rappelais de la journée d'avant, où j'étais avec une humaine, cela me rappela aussi, que j'avais une amie.J'entendis du bruit puis je vis une silhouette, alors je dis tout de suite, d'un ton sec et sans émotion :

-Qui êtes-vous ? Que faites-vous ici ?

Just a calm moment...
Before the ghoulish game...

Toujours avancer, droit devant soi. Voilà ce qu'il fallait se dire, toujours et encore. Le passé est révolu: il ne pourra plus jamais être modifié, il restera inchangé et ce à tout jamais. Tous ces regrets, toutes ces peines et ces larmes ne pourront plus être effacé par un seul rire, même pas par un simple et doux regard. Chaque seconde qui passe fait partie d'un passé inéchangeable, et cette seconde s'éloignera de plus en plus du présent emportant avec elle le pleur présent et la noirceur de ce monde. Et le temps passe, et l'Homme marche devant lui. Et le temps passe, et la vie est censée continuer pour certain et s'arrêter pour d'autre dans des circonstances différentes et dans un passé révolu, complètement différent mais pourtant semblable. L'humain continu donc de marcher jusqu'à que sa vie s'achève en ce monde, jusqu'à que son dernier souffle se soit éteint pour ceux qui l'aiment et ceux qu'il aime. C'est une des facettes du cycle de la vie, un cycle qui commence et s'achève pour chaque être. L'on ne peut l'arrêter: l'éternité est éphémère et l'on oublie vite que le temps passe rapidement, et que les secondes du passé s'éloignent peu à peu du présent à une vitesse folle. Et il est impossible d'arrêter le temps, peu importe pour qui: même pour la Terre, cette planète qui peu à peu se fissure et se blesse de toute part, qui peu à peu devient grise de goudron et sèche par l'eau qui disparaît. Et le temps passe, le passé s'encombre de nouvelle seconde et tout les êtres marchent droit devant eux, oubliant le temps qui s'écoule...

La lune était magnifique, elle était presque pleine et ne le serait pas aujourd'hui: mais dans un futur proche elle attendrait sa propre limite: une limite ronde et douce, encore plus lumineuse que d'habitude. Et les secondes passent, et elle marche toujours droit devant elle. Doucement, par des pas doux et silencieux, elle avançait cherchant encore à s'éloigner de plus en plus de son passé; mais se rendait-elle seulement compte que les secondes qui passaient l'en éloignait plus vite qu'elle ne marchait? ; un passé qu'elle voulait éviter à tout prix. La seule personne à qui elle en avait parlée était ce Jun Sakurada. Elle savait qu'il arriverait à mettre fin à ce jeu inutile: enfin peut-être. En tout cas, elle n'y pensa plus, cas à présent elle devait rejoindre cette pièce où elle était censée être. Dans la nuit noire, sa robe ne pouvait se distinguer du ciel. En effet, cette robe de soie noire ne pouvait se distinguer que par les dentelles blanches qui encadrait le bas et le haut de la robe, ainsi que la fin des manches de la robe, des manches courtes et bouffantes. Par ailleurs, contrairement à cette robe, la petite fille qui la portait se distinguait presque aveuglement: autant par son teint plus blanc que la porcelaine que par ses cheveux d'argents, tels la lune. Cette petite fille était bien étrange. Son regard caché par l'ombre de ses cheveux, elle pouvait pourtant voir ce qu'il se passait aux alentours: rien en vérité. Et pourtant, elle se méfiait, sentant quelqu'un de proche. Les secondes passaient, et elle continuait à marcher droit devant elle, silencieusement et calmement, sans nullement prêter attention à cette présence...

Mais elle sentait que cette présence se rapprochait, peu à peu, les secondes passant. Cette présence était assez étrange. Elle s'arrêta, soudainement, à une intersection: impossible d'aller tout droit, il lui faudrait choisir entre "la gauche" ou "la droite". "La gauche ou la droite?", lui susurrait une voix inconnue. Cette voix, la petite fille la connaissait: c'était "elle". Elle décida de l'ignorer, tout simplement puisqu'elle ne voulait pas l'entendre. Non, elle ne voulait plus jamais l'entendre et pourtant elle continuait de dire des mots, quelques fois des mots étranges. Finalement, la petite fille aux cheveux d'argents se mit à regarder dans le vide, vers le milieu des deux chemins, comme si quelque chose l'intriguait, quelque chose qui allait se révéler à la lumière de la lune; une douce lune éclairant la nuit si noire et ténébreuse. Elle pensait. A quoi? Nul ne pouvait la savoir. En réalité, ses yeux, cachés par l'ombre de sa frange, ne reflétaient rien, pas la moindre émotion. Sentait-elle la présence de quelqu'un? Oui. Dans cette nuit si noire, en plein milieu de la petite ruelle, une petite fille d'environs quatre ans, à l'apparence bien étrange, attendait quelque chose ou peut-être quelqu'un: comment le savoir? Elle regardait dans le vide, voyant simplement une petite fille, blonde. Une poupée, simple poupée, peut-être perdue, habillée comme ces jeunes filles dans les rues à la différente qu'elle portait une sorte de pantalon très court. En tout cas, à sa question elle ne répondu point, sentant une autre présence plus menaçante. Elle patientait, son regard ne reflétant toujours aucune émotion; un regard caché par l'ombre de ses cheveux pourtant si clairs. Pourquoi patienter, juste pour cette présence? Il suffit d'attendre que les secondes passent, s'écoulent dans ce passé et s'éloignent toujours de plus en plus du présent de sorte à former un passé révolu...

La rozen Maiden était au milieu de trois grandes poubelles grise. Elle dormait dans sa mallette ou une rose rouge trônait, elle avait atteint son rêve, ou son N-field. Un monde aussi fou qu'elle. Elle était assise sur un champignon mesurant environ trois mètres et cinquante centimètres, noir avec des taches de toutes les couleurs, seul ce monde la comprenait,le monde des humain est si fade et sans le moindre intérêt ... Elle respirait la douce odeur du miel des abeilles rouges, si doux et succulent. Un grande abeille vint lui porter un pot du miel bleu, celui dont elle raffolait depuis longtemps, elle caressa l'insecte

Merci ma belle ....

Elle sourit, ce qui ne ce produisait que dans son monde, dans celui des humains elle avait perdu son chère frère .... Elle ne s'en était jamais remit. Alors que le seul bruit était celui du monde magique dans le quel elle se trouvait, un trou apparut, quelqu'un était entré dans sa rue ! Elle dit d'une voie douce

Je reviens mes amis ...

Elle sauta avec élégance et grâce dans le passage et atterrit dans l'ombre de la ruelle étroite avant d'entendre quelqu'un dire

-Qui êtes-vous ? Que faites-vous ici ?

Elle dit sans bouger d'une voie ne montrant pas la moindre émotion

Qui suis-je ? Qu'est-ce que je fais ici ?

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Je regardais vers la gauche, en faîtes, je ne vis pas qu'une ombre mais deux. En effet deux poupées, carrément différentes l'une de l'autre. Une, qui était très belle, mais tout comme moi, le regard vide, en faites, caché par ses cheveux.L'autre venait de me parler, car j'avais demander qui était là.Elle me répondit, d'une manière un peu....Bizarre on va dire. Mais, je faisais genre je n'avais rien entendue. La seule chose que je pouvais faire à ce moment là. C'était, soupirer. J'avais tellement envie que cette nuit reste merveilleuse. Mais, l'autre poupée n'avais pas dit un mot.Après, avoir soupirer, je ne sais pas pourquoi, à ce moment-là, je relevais tout simplement.Or, je n'étais pas comme d'habitude... Je me trouvais moi même étrange.Je passa devant la poupée qui m'avais parlé.Comme si, de rien était puis, d'un seul coup je me retournais vers elle en disant, d'un ton un peu sombre mais toujours aucune émotion ne se vit :

-On ne joue pas avec moi. J'ai horreur de ça. Petit conseil d'amie. Maintenant, là moindre des politesses, c'est de se présenter. Je m'appelle Rin Kagamine, première poupée Vocaloid no Hime. Mais je te préviens. Je ne combat pas. Je ne participe pas au Alice Game.

Puis, je me retourna vers l'autre poupée. Elle semblait avoir le visage glacé. Mais en faites, je pensait que c'était sa nature.Puis alors, je me mit sur une jambe et sauta un peu loin.

-Je veux bien jouer avec vous, mais pas en tant que combat à mort. Juste un combat comme ça, pour nous détendre. Vous en dites quoi ?

Je savais très bien, que celle qui m'avait répondu, ne voudrais pas. Je le sentais. Mais le moindre chose pour l'instant, c'était de faire de la psychologie.

Les secondes passaient, peu à peu, la petite fille démasquée en tant que poupée ne dit rien, pour cette nuit elle voulait être sans voix, muette comme ces gens qui avaient perdus leur "chant", ou plutôt leur voix. Oui, elle serait muette. Non, pas aveugle mais simplement muette, juste pour observer le monde à la manière de ce qui avait perdu leur voix à tout jamais, ou non. Demain, serait-elle aveugle? Autant ne pas anticiper, juste se poser sur les faits présents. Elle ne bougeait pas, son visage glacé et indifférent: à quoi bon répondre si elle était muette? Les secondes passaient, et un petit vent souffla, doucement, une sensation presque "invisible", que l'on ne pouvait ni voir ni sentir. En fait, c'était un silence: simple silence que l'on rencontrait lorsqu'il n'y avait plus rien à dire voire même plus rien à vivre. Pas même un rire, pas même un pleur, juste une poupée qui s'avançait. Elle ne voulait pas y faire attention, et elle n'y mettrait aucune intention. Elle se contenterait de regarder sans nullement parler puisque, cette nuit, devant cette lune et ce ciel noire de ténèbres, elle serait exceptionnellement muette pour savoir ce que ressente les humains ayant perdu leur voix: dernièrement cela l'intéressait beaucoup à cause d'un livre qu'elle avait lu, dans la bibliothèque de ce fou qui l'avait créée. Finalement, elle commença à faire attention à ce qui l'entourait. La poupée au cheveux blonds s'avançant, une autre qui était apparue dernièrement. Cette dernière poupée, aux cheveux roux, semblait juste triste, un peu mélancolique de cette vie. L'autre poupée s'arrêta, devant celle aux cheveux d'argents, pour lui dire des mots d'un ton glacé, sombre et indifférent avec une légère sensation de dégoût face à une poupée complètement muette. A quoi bon répondre si elle était muette? En tout cas, ce qu'elle lui dit aurait dût être destiné à l'autre poupée, car nul ne doutait que l'autre poupée aux cheveux orangés, elle, "jouerait" d'une certaine manière. Mais elle écouta, se répétant les mots de cette poupée...

-On ne joue pas avec moi. J'ai horreur de ça. Petit conseil d'amie. Maintenant, là moindre des politesses, c'est de se présenter. Je m'appelle Rin Kagamine, première poupée Vocaloid no Hime. Mais je te préviens: je ne combat pas. Je ne participe pas au Alice Game.

Finalement, cette "Rin Kagamine" se tourna vers l'autre poupée, sur ces paroles. La petite fille aux cheveux d'argents releva un peu sa tête suite à cela: cette poupée ne participait pas au jeu d'Alice, elle n'était donc pas comme les autres à se battre pour l'inutile. Bref. L'on pouvait apercevoir son visage, magnifique: des lèvres rosées, et des yeux que l'on pourrait définir comme "bien formés". Par ailleurs, ce qui se dévoila avant tout était la couleur de ses yeux, "les couleurs" plutôt étant donné que ses yeux étaient de couleurs différentes. L'un était bleu, un bleu un peu clair et doux comme la mer. Mais l'autre couleur était complètement différente: un rouge improbable à côté de ce doux bleu, un rouge dur, un rouge comme ce liquide carmin qui s'écoulait lorsque l'humain se blessait. Oui, un rouge sang, presque menaçant. Ses yeux étaient froids, et pourtant doux. C'était assez contradictoire mais c'était ce que l'on pouvait sentir. Elle se retourna de même, regardant l'autre poupée de son regard habituel: indifférent. Les visages glacés se croisèrent, sans aucun mot tandis que l'autre poupée était partie, un peu plus loin, disant ces paroles...

-Je veux bien jouer avec vous, mais pas en tant que combat à mort. Juste un combat comme ça, pour nous détendre. Vous en dites quoi ?

La petite fille aux yeux bicolores regarda celle qui s'était déplacée il y avait un moment, quelques secondes révolues. Cette fois-ci, elle se retenait de lâcher un petit rire mais ses lèvres rosées étaient scellées sur son visage glacé. Elle se contenta donc de regarder cette poupée. Elle ne bougeait pas. Elle ressentait peu à peu ce que ressentait les humains ayant perdus leur voix: ces humains devaient se sentir mal, un mal causé par leur manque de voix.Ils ne pouvaient ni dire ce qu'ils ressentaient, ni prévenir les autres d'un danger quelconque: la voix leur manquait et il ne pouvait s'exprimer que part les gestes et peut-être encore l'écrit pour certains. Mais la poupée aux cheveux de lune, elle, n'exprimait rien. Elle faisait juste sentir que sa voix était partie et ce pour un moment: elle ne voulait pas parler. Ressentir ce que les humains ressentent était assez dur sur un point: en effet elle trouvait que les sentiments en général était inutiles et qu'ils ne montraient qu'un égoïsme partiel. L'amour est égoïste, l'envie est égoïste, mais cela elle ne l'exprimait que par son indifférence totale envers le monde. Oui, dans le fond elle ressentait les sentiments mais elle ne les montraient pas et se cachait à elle même comme d'autre. Si cette fois-ci elle avait décider de ne pas parler, c'était pour contenir ses sentiments si imparfaits. Elle ne parlerait pas, cette nuit-là, et ce même si cette poupée était en danger: elle se contenterait de regarder sauf si elle était réellement en danger... Là peut-être elle agirait... Peut-être, se disait-elle, tandis que les secondes passaient...

La poupée aux long cheveux Roux n'avait pas bougé. Ses deux fines jambes blanches parallèle comme les cahier des étudiant. En parlant de Collegien la poupée blonde qui semblait bavarde leur ressemblait bizarrement. Pas comme la poupée auc cheveux blanc qui n'avait pas parler ni bouger. Elle était si belle, avec ses beaux cheveux couleur nuage, ses yeux dépareillés et sa beau blanche aussi lisse que le vent. L'autre en quelque sorte la défia; elle ne réagit pas. En quelque sorte, la poupée aux yeux violets n'avait plus la raison. Elle leva lentement la tête, son mécanisme grinça et ses yeux de couleur douce et chaude mais remettant le vide, apparurent. Elle dit d'une voix sans le moindre ton.

Je suis cihguiou, la 8 ème Rozen Maiden ...

Quand la poupée vocaloid nô hime dit vouloir jouer, elle exécuta un saut a cloche pied, la rozen Maiden pencha la tête de côté et son mécanisme refit du bruit. Jeu ... Ce mot elle l'avait tellement vécu .... Avant leur mort ......

Je ... Jouais .... Avec ..... Lui ....

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A présent, je voyais plus claire dans la poupée. Quand elle le dit qu'elle était la 8ème poupée Rozen Maiden, je fût d'abord surprise.Rozen n'en avait créer que sept. Mais il semblait que j'avais tord. En faites, je l'avais provoquer en duel juste pour voir son cractère, je pensais qu'il était autrement, comme quoi il ne faut pas juger les gens. Mais en faites, la pauvre avait beaucoup de mal à s'exprimer. J'avais compris pourquoi, elle était comme ça. C'est simple, elle doit être très jeune et Rozen n'as pas pu faire ce qu'il pouvait. Je ne savais absolument pas quoi faire. Lui sourire ? Un mot ? Lequel ? Tant de question se bousculèrent dans ma tête.Puis je me disait que pour une fois ça ne faisait rien, pour une fois, j'allais montrée mes sentiments, pour aider cette pauvre poupée. Je revenais devant elle doucement et je me mis alors accroupi. Puis je lui fit une petit sourire avant de prononcer ceci d'un ton différent de d'habitude :

- Dit... De qui tu parles ? Je peux t'aider tu sais... Tu veux joué ? Si jamais... A quoi ?

Puis je me retournait devant la fille glacée.Puis, je l'as pris par le bras.Avant de dire :

-Dit quelque chose ? Tu n'as plus de voix ? Qu'est-ce qui t'arrive ? Tu as besoinde quelque chose ?

[Genre, j'ai pas pu faire mieux...>.<]

Rien ne se passait en particulier. Juste des mouvements. En fait, ce n'était que des paroles en l'air, comme si il fallait se rattraper par rapport au passé. Mais le passé est inéchangeable, et il est impossible de le changer: même la dernière secondes entrée dans la faille du passé ne pouvait être changé: l'on avait beau donner des explications voire même donner d'autres vérités il n'y avait rien à faire: le passé ne pouvait être changé et ce à tout jamais: le passé était révolu et ce à tout jamais. Alors, pourquoi si rapidement, la poupée aux cheveux roux commença à dysfonctionner? Non, il n'y avait aucun dysfonctionnement dans son mécanisme: juste une mentalité troublée, simplement troublée. La folie? Il n'en était rien: la folie était juste une forme d'expression pour les sentiments. C'était juste un caractère, une autre mentalité. En fait, il n'y avait pas de réelle folie. C'était juste un adjectif pour définir cette autre mentalité, troublée, qui dérangeait certains humains. C'était ce que pensait la poupée aux cheveux argentés à propos de la folie. Juste un sentiment que l'on ne pouvait changer, du moins pas sans obstacle, et qui ne pouvait disparaître complètement par rapport au passé. Pour elle, c'était une façon différente d'exprimer ses sentiments et peut-être même une façon différente de raconter son histoire: du moins la vérité qui en sortait. Étrangement, la poupée aux cheveux blonds commença comme à regretter ce qu'elle venait de faire: à présent qu'elle ne pouvait plus changer le passé, elle essayait donc de se rattraper auprès de cette autre poupée en changeant complètement de caractère. A cela, la poupée aux yeux bicolores ne ressentit rien, pas la moindre chaleur: juste une autre forme d'égoïsme, encore un sentiment humain...

-Dit... De qui tu parles ? Je peux t'aider tu sais... Tu veux jouer? Si jamais... A quoi?

Soudain elle se retourna. L'autre poupée se contenta de la regarder s'avancer: elle avait la soudaine envie de partir, mais elle se retenait. Dans le fond, autant ne pas reculer avant d'affronter son passé. C'est là qu'elle réalisa que cette poupée, celle aux cheveux blonds, ressemblait vraiment à une humaine se qui la dégoûtait un peu. En effet, elle n'avait jamais trop aimé les humains: elle préférait les "étudier", eux et leur sentiment, de loin. Elle se souvenait juste de quelques moments passé avec les humains, des moment horribles pour elle. Puis soudain, cette poupée à l'air humaine lui prit le bras. Ce geste fit sortir l'autre poupée de ses pensées qui commençaient à la noyer dans leur profondeur. Puis cette Rin Kagamine parla, elle était complètement différente par rapport à tout alors mais la poupée aux yeux vairons restaient sur ses positions: elle resterait muette pour cette nuit et rien ne la ferait changer à ce niveau là. Pas même les paroles de cette poupée...

-Dit quelque chose? Tu n'as plus de voix? Qu'est-ce qui t'arrive? Tu as besoin de quelque chose?

Non, elle n'avait plus de voix pour cette nuit là, et ses lèvres scellées le resterait jusqu'au lendemain. Le lendemain elle parlerait, comme d'habitude, d'une voix indifférente. Elle ne sortirait pas avant que la nuit ne soit tombée, elle n'irait pas regarder le soleil le lendemain dès le matin. Elle se contenterait simplement de dormir dans sa mallette avec ses propres démons qui la hantaient depuis des années. Elle n'avait besoin de rien, elle voulait juste échapper à son propre passé. Il ne lui arrivait rien, juste un profond dégoût envers les humains et leurs sentiments qu'elle aussi ressentait. Elle ne voulait pas parler, vraiment pas. C'était ce profond dégoût envers les Hommes qui la rendait muette, cette nuit-là, car elle voulait simplement être tranquille et se promener mais ces poupées sont apparues. Elle ne pouvait rien y faire, juste se taire pour cette nuit-là tandis que les secondes passaient. Elle regarda cette Rin Kagamine, avec toujours les même yeux, puis se mit à regarder celle qui se nommait Cihguiou, toujours du même air. Elle ferma puis ré-ouvrit ses yeux délicatement, sans nullement soupirer. Elle se disait simplement qu'entre les deux chemins, elle aurait dût prendre le gauche... "Alors, tu regrette? Mais le passé est révolu et il est impossible de le changer: n'est-ce pas?" Elle ignora cette voix qui l'importunait depuis déjà quelques temps. Cette voix "lui appartenant" ne faisait que la déranger lorsqu'elle pensait à un choix et des fois elle prenait son contrôle. Mais cette fois-ci, ce serait différent. Quoi que, rien n'est semblable dans ce monde; ou presque: car même les sentiments étaient différents et ils en étaient la preuve même. La poupée aux cheveux d'argents se laissa entraînée par cette autre poupée, Rin Kagamine, sans nullement ajouter un mot puisqu'elle était muette... Mais un moment viendrait où le soleil se lèverait et où elle commencerait à parler...

Ses beaux yeux violets ce balançaient de droite a gauche, quelle surprise ! c'était la première fois que quelqu'un s' interraissait a elle ! surtout dans ce sens, les autres pour des expérience car c'est vrai que une poupée bougeant et pensant comme un humain ... en fait non, elle e pensait pas comme les "humain", elle ne pensait pas, elle agissait pas comme ses humains ..... elle leva la tête et plongea ses yeux dans ceux de la poupée blonde.

Je parle de .... lui ... Gosuto ...

elle passa sa main sur sa mallette qui se trouvait a coté d'elle. elle pensa a ses "amis" qu'elle avait laisser. elle gardait le visage vide de tout émotions.

[désoler RP court mais manque d'imagination ]